L’eau, messager de l’information et vecteur énergétique…

La physique quantique est une science étudiée depuis plusieurs siècles par d’éminents et nombreux scientifiques, continuant à marquer les sciences.
Parmi eux, il y a le célèbre physicien et prix Nobel Niels Bohr (1885-1962), un des créateurs de la théorie quantique avec son modèle de l’atome et qui en inspira d’autres ; le physicien Werner Heisenberg (1901-1976), reconnu comme un fondateur de la mécanique quantique pour l’introduction des matrices et ses « incertitudes ». Prix Nobel avec le physicien Wolfgang Pauli (1900-1958), il inspira à son tour le physicien, ingénieur électricien et mathématicien Paul Dirac (1902-1984). Théoricien analogue à Albert Einstein (1879-1955) et Richard Feynman (1918-1988), il fut le 1^er à formuler simplement la « généralisation relativiste de l’équation d’onde d’une particule ».
« Ce que nous observons, ce n’est pas la Nature en soi, mais la Nature exposée à notre méthode d’investigation. » « L’objet de la recherche n’est plus la nature en soi, mais la nature livrée à l’interrogation humaine, et dans cette mesure l’homme ne rencontre ici que lui-même. » Werner Heisenberg

Le mathématicien et physicien Louis de Broglie (1892-1987) obtint d’ailleurs le prix Nobel pour sa découverte de la mise en évidence du caractère ondulatoire de l’électron.
Un atome est composé d’électron(s), une molécule d’atomes, la matière de molécules, et tous communiquent par fréquences spécifiques : leur signature vibratoire, ondulatoire.

Une molécule d’eau H₂O est composée de 3 atomes (1 d’oxygène et 2 d’hydrogène), et plusieurs molécules d’eau reliées entre elles, assemblées comme une ronde d’enfants, forment des espaces : les domaines de cohérence.
Dans l’approche vibratoire de la mémoire de l’eau, l’enseignant-chercheur et professeur de chimie-physique quantique Marc Henry, explique le rôle majeur de ces domaines de cohérence. Ces espaces ainsi formés laissent passer ce qui est électromagnétique : ondes, vibrations, fréquences et informations (téléphonie, couleurs, musiques, paroles, émotions…). Ils changent rapidement de structure, se forment et se déforment à l’infini, selon la température, les ondes, endroits traversés et substances rencontrées (polluants, nutriments…), qui nous constituent, nous environnent. Ils transmettent donc les informations électromagnétiques qu’ils contiennent et qui génèrent sur la biologie des effets bénéfiques ou polluants.
Par filtration, seule la majorité des grosses molécules polluantes sont retenues dans un filtre. Cependant, leurs empreintes, ondes ou mémoires électromagnétiques, persistent. Elles transmettent donc des informations polluantes qui se propagent et qui, si rien n’est fait, épuisent les capacités autorégénératives naturelles du milieu voire entrainent sa destruction.
Donc, la structure de l’eau reflète les changements vibratoires au cours de sa vie d’élément environnemental, terrestre, de constituant majeur des êtres vivants, donc leur santé. Garder/remettre en mouvement ces domaines de cohérence pour qu’ils se désinforment de leurs pollutions et se ré-informent de ce qui leur est bénéfique, est donc primordial.

Ainsi, pour remédier aux pollutions, le soin RVF (Résonance Vibratoire Fréquentielle) est adaptatif, dynamisant et informationnel, stimulant les capacités naturelles d’auto-régénération du vivant : induisant des transmutations bénéfiques, durables, comme celles existant dans la nature, sans effet secondaire…