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L'étoile de Sophia

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Eau’méo’ mémoire

Mémoire cellulaire et mémoire de l’eau

Le médecin Samuel Hahnemann (1755-1843), célèbre inventeur de l’homéopathie, étudiait le lien entre la nocivité d’une substance et ses potentielles capacités de guérison. Ses travaux pharmacologiques et la prise en compte de l’être humain dans sa globalité, lui permirent de mettre en évidence que la cause de symptômes, peut aussi les guérir. Ainsi, ce qui provoque des symptômes chez un être humain en bonne santé, peut, à dose extrêmement diluée et dynamisée, guérir vivement et durablement ces mêmes symptômes.
En physique quantique, une molécule active extrêmement diluée s’apparente à l’absence de cette molécule dont seule la signature électromagnétique (onde) correspondante persiste, reste présente : les travaux sur les hautes dilutions montrent que l’onde seule a les mêmes propriétés que la molécule, même sans la présence de cette molécule !
En plus du rôle primordial de transporteur dans la communication du vivant, l’eau a donc aussi des propriétés énergétiques : elle mémorise et reproduit l’information à chaque instant.

Le pionnier des recherches sur la mémoire de l’eau, Dang Vinh Luu (1936-2012), docteur en physique initié à la médecine taoïste par son grand-père, alliait physique et Tao : une ressource fondamentale, une force qui engendre l’existant et se retrouve dans tout l’Univers. Par cette voie, il voulait expliquer l’efficacité homéopathique notamment en phytothérapie. Avec son épouse Claudine, pharmacienne et botaniste, ils mesurèrent différentes fréquences vibratoires, électromagnétiques, à partir de dilutions successives de produits.
« L’eau est ultrasensible à toutes les vibrations. » Dang Vinh Luu

Aussi, le médecin, chercheur et immunologiste Jacques Benveniste (1935-2004), valida du point de vue de la biologie les résultats plutôt du domaine physique des Vinh Luu. Il faisait aussi l’analogie avec les fréquences sonores émises en musique, comme Masaru Emoto, pour expliquer le rôle des ondes dans les processus biologiques.

Puis, c’est notamment le biologiste, virologue et prix Nobel Luc Montagnier (1932-2022) et son équipe qui travaillèrent sur le sujet, suivis par des scientifiques d’Europe, des États-Unis et d’Asie ; confirmant les résultats de Jacques Benveniste, soutenant qu’il est crucial d’allier physique, biologie, chimie et médecine, car les ondes et les contacts entre molécules créent l’énergie.

De même que la transmission de l’ADN, la mémoire cellulaire véhiculant (transmettant) des informations vibratoires provenant de notre généalogie, entre en résonance avec chacune de nos cellules. Ainsi, l’ensemble des informations que nous recevons inconsciemment à chaque instant sollicite nos différents systèmes énergétiques. Les ressources ainsi mobilisées peuvent engendrer des stress inconscients, vecteurs d’informations décelables grâce aux tests effectués.
C’est en partie par ces principes que le soin RVF transmute et met en lumière l’aspect bénéfique de dysharmonies, par des fréquences révélatrices testées, adaptées et intégrées.

La RVF* est un soin qui peut soutenir les traitements conventionnels, mais qui ne dispense en aucun cas d’un acte médical ou vétérinaire, ni de tout autre soin dont vous désireriez bénéficier ou faire bénéficier vos animaux.
* : Résonance Vibratoire Fréquentielle

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