Eau corporelle, vertus et champ morphique

L’ingénieur Jacques Collin s’est plongé dans l’étude des effets de l’eau sur la régénération mentale, physique et intellectuelle : l’eau, support des énergies électromagnétiques et rayonnements cosmiques, interface entre physique et métaphysique (nature des choses).
« L’eau assure une permanente communication entre le monde quantique et temporel et notre univers physique afin de construire les formes du vivant. L’eau tisse tout un réseau informationnel au sein de nos 60 000 milliards de cellules. Celle-ci est l’autoroute de cette information totalement immatérielle et virtuelle qui gère toutes les réactions métaboliques, enzymatiques et physico-chimiques du corps. Il apparaît que l’électron, particule quantique en est le messager et le vecteur vital. » « Les dernières découvertes sur le temps et les ouvertures temporelles, (par le physicien Jean-Pierre Garnier-Malet) démontrent que nous même et notre biologie vivent dans plusieurs temps simultanément et que ce principe vital était connu des anciens. » « L’eau de notre corps assure l’interface entre toutes ces dimensions en venant apporter l’harmonie au cœur de nos cellules. » « L’eau chargée d’énergie agit sur la matière vivante (…). » Jacques Collin

Cette autoroute de l’information corrobore avec les travaux du biologiste cellulaire Rupert Sheldrake, pour qui il existe un réservoir de la mémoire de l’Univers: interaction de toutes structures vivantes du microcosme (infiniment petit) au macrocosme (infiniment grand), en résonance avec un champ morphique (réseau source d’informations) invisible à l’œil nu, survivant à la mort du corps physique.
Ainsi, chaque espèce a son propre champ influençant le développement cellulaire de l’être, comme le fait le patrimoine génétique transmis par l’ADN.
« La mémoire est inhérente à la nature. » « Les systèmes naturels (…) héritent d’une mémoire collective renfermant tous les phénomènes concernant leur espèce, aussi distants soient-ils dans l’espace et dans le temps. » Rupert Sheldrake

Il reprend le concept de champ morphogénétique du biologiste Alexander Gurwitsch (1874-1954) dont les travaux biophotoniques furent validés par sa fille Anna, professeur ; comme les biologistes Émile Pinel (1906-1985) mathématicien et physicien, et Jacqueline Bousquet (1936-2013) chercheuse certifiée d’écologie et conseillère d’agriculture.
« Ni l’univers, ni l’évolution ne peuvent être issus du hasard, pas plus que la conscience ne peut être enfermée dans la matière. Pourquoi alors ne pas appliquer les dernières découvertes de la science à notre vie quotidienne ? Il est évident qu’il faut reconsidérer notre approche de la vie, appréhender l’être humain sous sa forme énergétique. » Jacqueline Bousquet

L’humain n’est ainsi pas qu’un corps physique et fait partie d’un tout : synergie science/tradition ancestrale.

« L’eau chargée d’énergie agit sur la matière vivante de telle façon qu’il faut être à la fois spécialiste en biologie, en physique quantique, en chimie, en physique et en médecine pour l’appréhender. Actuellement, compte tenu de sa spécialité, aucun scientifique n’est dans la possibilité d’en avoir une vue suffisamment large et précise. » Jacques Collin

C’est pourquoi, la RVF (Résonance Vibratoire Fréquentielle) contribue à l’équilibre relatif et global, incluant l’informationnel en contexte spatio-temporel.