Image Alt

L'étoile de Sophia

L-Etoile-de-Sophia_Franck-GILBERT_bioelectronique_ph-resistivite_letoiledesophia.org

La bioélectronique

Multiples recherches…

La pharmacienne et chercheuse Jeanne Rousseau (1915-2012) a travaillé sur les résonances cosmiques, la dynamique de l’eau, les plantes, la nature, le vivant… Elle observa le pH évoluer selon la lunaison et l’eau être la médiatrice du phénomène. Ses découvertes et réalisations l’ont ainsi amenée à œuvrer pour la bioélectronique avec l’ingénieur hydrologue Louis-Claude Vincent (1906-1988).

La Bioélectronique de Vincent est une technique de mesure physico-chimique du potentiel vital, incluant les paramètres biocompatibles, d’un terrain au sens homéopathique : eau, fluide, organisme (humain, animal, végétal). Elle permet de déterminer la qualité, la vitalité d’un milieu par 3 paramètres :
– le pH = potentiel hydrogène, fonction magnétique et capacité énergétique, illustrant de 0 à 14 la nature acido-basique d’un milieu avec neutralité à 7 (pH inférieur à 7 = milieu acide ; pH supérieur à 7 = milieu basique (alcalin)) ;
– le rH2 = hydrogène relatif, fonction électronique et capacité régulatrice, illustrant (à un pH donné) de 0 à 42 la nature d’un milieu avec neutralité à 28 (rH2 inférieur à 28 = réductrice ; rH2 supérieur à 28 = oxydante) ;
– le rô = la résistivité électrique et donc la nature isolante ou conductrice d’un milieu (haute résistivité = basse concentration en molécules, minéraux et résidus à sec, et haute résistance aux ondes électromagnétiques et cosmiques ; et vice versa).

La bioélectronique s’inspire de travaux de scientifiques renommés : les physicien Georg Ohm (1789-1854) en résistivité, chimiste Soren Sorensen (1868-1939) en pH, physicien-chimiste Walther Nernst (1864-1941) en oxydoréduction, biologiste-zoologiste et biophysicien Fred Vlès (1885-1944), etc.
« La biologie est pour la plus grande part la science de l’eau. » Fred Vlès

La bioélectronique dans l’étude de l’eau met en évidence ses liens avec : chimie (milieu pollué ou non), cinétique (vitesse d’écoulement) et température. La structure de l’eau qui en découle lui confère ses capacités de résonance, d’adaptation aux modifications énergétiques du milieu, cosmiques, climatiques, électromagnétiques…
Son rôle vital dans l’équilibre morphologique et physiologique oscillant devient évident. Dans un organisme en santé, l’eau est liée aux molécules, ou libre et circulante (sang, etc.), et permet les fonctions vitales : digestion, circulation, nutrition cellulaire, élimination des déchets/toxines, thermorégulation, etc. Idem dans la nature où la vie d’eaux vives (torrents, rivières, mers…) diffère de la vie d’eaux stagnantes (épuration, baignade, industrie, agriculture, élevage…).

« L’importance de l’eau n’est pas dans ce qu’elle apporte mais dans ce qu’elle emporte. » « La bioélectronique a permis de mettre en évidence l’aspect dynamique de l’eau, trop souvent analysée à l’état statique sur des critères chimiques qui ne traduisent pas ses facultés d’adaptation aux variations du milieu vivant. » Jeanne Rousseau

En plus d’analyses chimiques et bactériologiques classiques, de constats visuels et olfactifs, la bioélectronique est un moyen facile, économique pour : contrôler, prévenir, comparer l’efficacité, suivre l’évolution de stress, remèdes, dépolluants, aliments, boissons, rythmes… La qualité des sols et végétaux étant liée à celle de l’eau dont ils sont majoritairement composés, ils bénéficient comme nous de ces propriétés…

Poster un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.