Eaux de surface
L’eutrophisation est courante : prolifération d’algues et de bactéries, augmentation du pH… Ce processus naturel est lent mais, accéléré par les activités humaines, devient très polluant. L’eau est trop peu dynamisée, oxygénée, renouvelée : baignade naturelle, piscine chlorée ou salée, bassin, jardin, aquarium, fontaine, mare, étang, lac, littoral, estuaire…
Les principaux nutriments, qui sont polluants en trop grande quantité, sont le phosphore (phosphates) et l’azote (ammonium, nitrates, nitrites) qui peut être amené par pluies acides… Les eaux de réseaux, du robinet, plutôt calcaires, augmentent ce processus : l’ammonium se transforme en ammoniaque, ammoniac aqueux, notamment toxique pour les poissons. Les algues assimilent ces nutriments et se multiplient à l’excès en surface, car les végétaux se développent et produisent de l’oxygène grâce à la lumière ; la nuit, elles le consomment. Une fois mortes, ces algues coulent au fond de l’étendue d’eau, où les micro-organismes -qui consomment de l’oxygène- s’en nourrissent, se multiplient et épuisent l’oxygène du fond. Sans lui, elles ne dégradent plus la matière organique morte, qui s’accumule en profondeur. Et plus il fait chaud, moins l’oxygène est soluble dans l’eau, donc ces processus s’aggravent.

Eaux usées
L’eau est dite usée quand les rejets qu’elle reçoit sont supérieurs à ses capacités naturelles d’autoépuration, ce qui pollue ou détruit son écosystème et concerne : les fosses septiques de l’habitat, bassins de traitement, stations d’épuration, lagunes, rivières, cours d’eau…
Les eaux domestiques avec leurs : pathogènes, matières azotées (toilettes), oxydables, phosphorées (détergents), organiques, minérales (salle de bain), ménagères (lave-vaisselle, lave-linge), grasses (cuisine), leurs solvants (bricolage), tout-à-l’égout, métaux lourds, chlore…
Certaines eaux industrielles, agricoles ou artisanales sont pré-traitées, avant rejet en réseaux de collecte, puis mêlées aux eaux domestiques pour soulager les stations dépolluantes de : toxiques, solvants, métaux lourds, polluants organiques, hydrocarbures, phosphore, azote…
Certaines eaux de pluie (air) et ruissellement (toit) sont aussi mêlées aux eaux domestiques, et lors de fortes pluies, déversées dans la nature pour soulager les stations dépolluantes de : fumées, particules, pesticides, dioxines, huiles de routes, carburants, métaux lourds…
Non traitées, ces eaux très polluées peuvent détruire l’écosystème par privation d’oxygène, invasion de germes pathogènes, déchets et rejets putréfiés, nitrates et autres…

Eaux profondes
Les eaux souterraines sont constituées d’eaux de pluies qui entrent par gravité terrestre dans les pores et fissures du sol, jusqu’à une couche imperméable de profondeur variable. Ainsi, l’eau s’accumule et forme un réservoir d’eau souterraine, une nappe phréatique…
Cette eau peut voyager longtemps sous terre et ressortir en créant une source, un cours d’eau, lac profond, etc. : élément régulateur à respecter et à préserver sain, comme pour les forages, puits, citernes, autres recueils, réservoirs, stockages, conservations…

C’est pourquoi Franck GILBERT propose des supports informés et dynamisés pour :
– oxygéner, revitaliser, harmoniser, stimuler l’autoépuration naturelle de l’eau et des écosystèmes aquatiques, équilibrer/réguler le pH, qualifier les rejets, réduire les germes pathogènes, métaux lourds, phosphates, nitrates, algues, vases, odeurs, irritations…
– réduire les utilisations et coûts des produits chimiques, toxiques, réparations, entretien, etc.